Porteurs du Projet :
Mélanie Boissoneau – IRCAV
Quentin Mazel – IRCAV
Thomas Pillard – IRCAV
Thèmes de la recherche :
Le projet de recherche :
Longtemps délaissés par la littérature académique, la notion de genre et les nombreux enjeux qu’elle recouvre suscitent depuis une quinzaine d’années un nombre croissant de réflexions qui ont contribué à un renouvellement des études cinématographiques ainsi qu’à l’émergence de nouveaux champs de recherche, liés notamment à l’étude de la réception, des publics, de la cinéphilie et des usages sociaux liés au cinéma.
Ce séminaire entend participer à ce renouveau et contribuer à fédérer, dans une perspective pluridisciplinaire, un ensemble de travaux se proposant d’étudier de manière plus spécifique les films ou les cinémas dits « de genre », tout en réfléchissant aux différents sens de ce qualificatif polysémique et à la variété de ses usages créatifs, professionnels et cinéphiliques.
Actualités/Publications :
- Pour suivre l’actualité du séminaire :
- #cinédegenre
- Podcast ICCA “Le cinéma de genre” :
- Programme du séminaire de recherche :
- Séminaire du 10 novembre 2017 :
- Laurent Jullier : Le mélodrame, genre ou mode narratif
- Yohann Chanoir : Les films sur le Moyen Âge, un cinéma qui défie la loi du genre
- Séminaire du 8 décembre 2017 :
- Raphaëlle Moine : Mauvais genres
- Héloïse Van Appelghem : Le road movie féminin : entre émancipation et aliénation du genre
- Séminaire du 12 janvier 2018 :
- Patrick Peccatte : Les origines d’un “genre immonde”, le cinéma de nazisploitation
- Maria Harriague : Starcrash : itinéraire d’un nanar, du plagiat à la perle bis
- Séminaire du 16 février 2018:
- Mary Harrod : La comédie romantique et familiale en France dans les années 2000 : regards (trans)nationaux sur l’idéologie d’un genre post-moderne.
- Jules Sandeau : Quand les films de genre représentent leurs publics : une approche genrée de la réflixivité générique.
- Séminaire du 13 avril 2018:
- Maureen Lepers : “Niggers, they mean business” (Jackie Brown, 2006) : la blaxploitation chez Tarantino, vers la réappropriation culturelles ?